jeudi 22 décembre 2016

Sophia : As We Make Our Way (Unknown Harbours)



Comme beaucoup d'entre vous, j'imagine, j'ai arpenté les tops de fin d'année, histoire de rester à la page des musiques d'aujourd'hui, avec Soulseek ouvert pour downloader tous ces disques d'ambient relou, ces démos de dubstep ou ces k7 d'electro-folk que j'ai loupés cette année et surtout, il faut bien le dire, que je n'écouterais jamais plus de ma vie après les avoir donc très vaguement survolés.
Excès de jeunisme et que de temps perdu alors que ce disque d'adult rock, sorti au mois d'avril, attendait sagement que je le découvre dans les tréfonds de Facebook, au détour d'un commentaire rédigé par le fan number one d'Eyeless in Gaza, et que je tombe immédiatement enamouré de lui.

SophiaAs We Make Our Way (Unknown Harbours) (The Flower Shop Recordings, 2016)

jeudi 15 décembre 2016

Tenement Symphony


Ce qu'il y a de bien avec les déménagement, c'est qu'ils permettent de retomber sur des trésors oubliés.
En vidant feu mes caisses de cd du garage dans les Kallax de mes nouveaux combles fraîchement aménagés, je suis tombé sur ce disque de Marc Almond, pas écouté depuis des lustres (minimum 15 ans).
Ma rencontre avec sa carrière solo remonte au tout début des années 90. La cousine de ma petite amie de l'époque était une fan invétérée de Marc Almond, comme elle aurait pu l'être de Jean-Jacques Goldman, je regrette aujourd'hui de ne pas lui avoir demandé d'où venait cette drôle de fascination.
Depuis 3 jours j'écoute donc en boucle ce Tenement symphony  et je le trouve parfait de bout en bout, même si le précédent album est communément considéré comme le chef d’œuvre du garçon. Au programme : EBM de Castafiore, reprise eurodance du Jacky de Brel, version fidèle de The Days Of Pearly Spencer (qui n'était pas encore devenu une scie), interlude Debussy (!) ou single mielleux digne du meilleur des Pet Shop Boys.

   

La prod' très early 90's signée Trevor Horn, épaulé çà et là par Dave Ball, l'autre moitié de Soft Cell, n'arrive même pas à gâcher la qualité des compos et, bien évidemment, l'interprétation des chansons. A vrai dire, ça serait même un petit plus pour nous les quadras, et, avec un peu de recul, on pourrait arguer qu'elle contribue pleinement à l'univers kitsch de Marc Almond.
Un an après la sortie de cet album, notre diva new wave est sur scène au Royal Albert Hall où elle délivre un concert aussi flamboyant que sa garde-robe et interprète live la quasi intégralité de Tenement Symphony :


 

Marc Almond : Tenement Symphony (Warner, 1991)

mardi 13 décembre 2016

Idéal pour les casseurs


Judge Dredd : Les affaires classées 01 (Délirium, 2016)

jeudi 8 décembre 2016

Le saut de l'ange



Je pensais qu'on en avait fini avec les rééditions de de Roubaix mais non, apparemment, il reste encore deux, trois trucs au fond du tiroir. Cette BO du Saut de l'ange est donc éditée pour la première fois en intégralité, on connaissait déjà le titre principal, ci-dessus, et Drive in, tous deux sortis à l'époque en 45 tours puis exhumés à la fin des années 90 sur la première compilation Playtime.
Notre MacGyver des musiques de films est ici gentiment en roue libre : et oui, gars, en 2016 il faut un peu plus qu'un sitar mélangé à un accordéon pour nous épater. Disons qu'on connaît bien la recette !
Quant au film lui-même, un revenge movie aux frontières du parodique que l'on dirait spécialement fabriqué pour Ciné Polar, s'il reste méconnu dans la filmographie d'Yves Boisset c'est qu'il y a quand même de bonnes raisons, comme souvent, n'en déplaise à nos amis snobinards. 
Je m'arrête là ou j'ajoute que le cd est limité à 500 exemplaires (et pas de vinyle, ouin ouin !) ?


François de Roubaix : Le saut de l'ange (Quartet  Records, 2016)

mardi 6 décembre 2016

Early Times


13 titres, 36 minutes et au moins 4 bombinettes : de quoi largement mettre le feu au parquet pointe de Hongrie de ton salon !
Et parce qu'au fond de toi ton petit cœur d'indie kid battra toujours comme aux premiers temps.


Thigh Master : Early Times (Coolin' By Sound / Bruit Direct, 2016)

jeudi 1 décembre 2016

"Alkohol tötet langsam ! Ich hab zeit"


Klaus Picher & Clemens Marschall : Golden days before the end (Edition Patrick Frey, 2016)

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...