samedi 16 janvier 2016

"des images de corps humains détruits."



Petit sortie détente ce matin à la Galerie Chantal Crousel où j'y ai croisé par hasard Thomas Hirschhorn, accompagné de sa femme et de son fils : "mon fils fait pareil à la maison, il dessine sur des grandes feuilles, qu'il découpe puis qu'il recolle, alors je suis venu lui faire voir que papa faisait à peu près la même chose."

Thomas Hirschhorn : Pixel-Collage @ Galerie Chantal Crousel, Paris, du 9 janvier au 26 février 2016

3 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Évidemment, pour des gens éclairés comme nous, ses propos paraissent banals.

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  3. bah après j'ai l'impression qu'il est clairement (dans ce cas précis) dans une lecture des choses à travers le prisme des médias. ça reste peut-être sa limite et son travers d'artiste contemporain. moi ce qui me gêne peut-être plus c'est le contexte, celui d'une galerie branchée, il y a forcément une forme de malaise qui s'installe, même si plastiquement les oeuvres sont assez impeccables, peut-être trop du coup. sa démarche (/ son discours) est toujours assez casse-gueule et le résultat parfois discutable mais ça reste pour moi un artiste stimulant.

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